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MASHletter

La MASH, cette maladie qui ne dit pas son nom, cette maladie des rendez-vous ratés qui touche 20 % de la population mondiale, 1 million en France, méconnue du grand public et de bon nombre de médecins.
SOShépatites  lance une newsletter spéciale sur cette maladie pour mieux la comprendre aujourd’hui et pour mieux la combattre demain. 

Cette nouvelle newsletter mensuelle et expérimentale, destinée aux personnes vivant avec la MASH et à tous ceux qui les accompagnent !

MASHLETTER N°41 - MARS/AVRIL 2025

ÉDITO: Depuis 2020, la Journée mondiale unifiée contre l'obésité (World Obesity Day) se déroule le 4 mars, mais cette année, cette journée avait une saveur particulière car elle a permis l’organisation des premiers États généraux de l'obésité.

MASHLETTER N°40 - FÉVRIER 2025

ÉDITO: Comment faire pour attendre les traitements efficaces contre la MASH ?
SOS hépatites a déjà vécu une telle situation avec l’hépatite C, avant la mise à dispositions des antiviraux directs d’abord, et ensuite le traitement universel en 2017.

MASHLETTER N°39 - JANVIER 2025

ÉDITO: MASH a des origines plurielles, c’est ce que viennent de démontrer les équipes lilloises associées à l’INSERM, grâce à l'analyse de différentes cohortes européennes. En 2025, on est donc sûrs que maintenant la MASH s’écrira au pluriel, ce seront des « MASHes ».

MASHLETTER N°38 - DÉCEMBRE 2024

ÉDITO: 2024 est l’année de l’organisation des soins et de l’accès au traitement : quelle classification ? Comment évaluer la MASH ? Biopsie ou tests non invasifs ? Mais le véritable mot d’ordre est, et restera : combinaisons.

MASHLETTER N°37 - NOVEMBRE 2024

ÉDITO: Le domaine de la santé n’est pas en reste avec l’IA, d’ailleurs, nous l’avons testée. Est-ce que Chat GPT pourrait aider à se poser les bonnes questions sur la MASH ? Côté patients bien sûr, mais aussi côté soignants… Vous pourrez constater que le chat est perspicace.

MASHLETTER N°36 - SEPTEMBRE 2024

ÉDITO: Cette année, le Paris Mash Meeting a été particulièrement réussi osant tout à la fois être à la pointe des nouveaux traitements et rebattre les concepts.
Pour la MASH, doit-on tout attendre de la société ou est-ce au malade de se prendre en charge ?

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